Les déferlantes sud de France

Coup d’envoi de l’été, Les Déferlantes Sud de France marquent chaque année le retour des beaux jours, de l’insouciance et des pieds dans l’eau. Des plus grands noms internationaux aux nouvelles pépites de la chanson, venez danser, vous évader, en famille ou entre amis, sur les sons d’une programmation curieuse et ambitieuse.

Entre mer et montagne, au pied des vignes, le Parc de Valmy, véritable bulle paradisiaque vous ouvrira ses portes pour 4 jours d’amour, de partage et de musique au format XXL. Plus de 60 concerts avec vue sur mer dans un cadre unique !

Un objectif : zéro plastique

Les déferlantes Sud de France 2020 passe à zéro plastique par la suppression des déchets plastiques à usage unique pour les stands de boissons et de restauration.

Depuis la création du festival, en collaboration avec la ville Ville d’Argelès-sur-Mer et le Sydetom 66 ,ils s’engagent pour préserver l’équilibre de notre planète et de notre merveilleux site en recyclant plus de 70% des déchets.

Avec La Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée et sa marque Sud de France, ils privilégient les circuits courts pour la restauration et les vins, en veillant à minimiser l’empreinte carbone.

Cette nouvelle édition vous réserve encore plein de belles surprises !

plastique

LA PROGRAMATION PRESQUE AU COMPLET !

Voici la liste des artistes qui viendront le 8 au 11 juillet

Gwen Stefani | Black Eyed Peas | Ben Harper & The Innocent Criminals | Soprano Officiel | ANGELE | NEKFEU | Lomepal | Jean-Louis Aubert & les sculpteurs de vent | Simple Minds Official | Tryo | Ninho SDT | Sum 41 | Petit Biscuit | Rilès | VITAA & Slimane | Roméo Elvis | Cali Officiel| Ofenbach | IZÏA | Tones And I| Mister V | NEMIR | Suzane | Supamoon
Marco Faraone + les DJ du dancefloor de la scène RIFFX.fr EL BOSQUE + les artistes de la scène nouvelle vague à venir !

Gwen Stefani

icône pop de toute une génération, Gwen Stefani a choisi le Parc de Valmy et Argelès-sur-mer pour sa seule date française !

Gwen Stefani est une artiste mondialement reconnue en tant qu’interprète, auteure-compositrice, leader du célèbre groupe de rock No Doubt et artiste solo multi-récompensée. À ce jour, elle a vendu plus de 50 millions d’albums dans le monde et ses tubes « Rich Girl », « What You Waiting For » et « Hollaback Girl » produit par Pharrell Williams sont numéro 1 ! A ces succès, s’ajoutent les single « Wind It Up » et « Used To Love You ».

Nous comptons sur le public de déferleurs pour lui réserver l’accueil qu’elle mérite.

Sum 41

Le groupe mythique nous fait l’honneur de sa visite à Argelès-sur-mer pour un concert qui promet du bon rock qui décoiffe.  Après quelques années sombres, Deryck Whibley a écrit le dernier album « Order in Decline » sorti l’été 2019, très bien accueilli par la critique.

Du pop punk au départ en allant désormais vers des styles tels que le heavy métal, le punk rock et le hard rock, le groupe promet aux festivaliers un concert qui envoie !

Lomepal

Après le succès de son premier album FLIP en 2017 certifié disque de platine et Jeanine en 2018 triple disque de platine, suivi de sa réédition Amina, Lomepal viendra envoûter le pays catalan pour un concert à son image : authentique et empli de belle folie.

Lomepal c’est aussi 2 AccorHotels Arena à guichets fermés !

Tryo

La famille de Tryo s’est agrandie au fil de ces XXV années passées sur le fil d’un reggae fervent, frondeur, festif, militant et visionnaire. Car plus d’un monde parle en Tryo, « trio à quatre et quatuor adroit », amis ouverts au partage, au dialogue, au voyage. Un double album de duos roboratifs avec des amis d’hier et d’aujourd’hui – Véronique Sanson, Hubert-Félix Thiéfaine, Renaud, la famille Souchon, Ayo, McFly et Carlito … – va accompagner dès janvier 2020 le concert anniversaire du 13 mars à l’AccorHotels Aréna. Et, prélude musical à cette fête des indomptables fils de Brassens et Marley, L’hymne de nos campagnes retentit une nouvelle fois, investi par Bigflo et Oli, Claudio Capéo, Gauvain Sers, Sylvain de Boulevard des Airs, L.E.J, Vianney et Zaz.

Regardons les rimes tomber, intemporelles, hélas. « Assieds-toi près d’un vieux chêne/Et compare-le à la race humaine/L’oxygène et l’ombre qu’il t’amène/Mérite-t-il les coups de hache qui le saignent? » Le morceau, extrait de l’album Mamagubida (1998), a connu un rebondissement lorsque NRJ l’a choisi comme coup de cœur de 2005. L’hymne prend alors la tête des charts et devient celui de cette année-là. Tryo avait demandé aux « petits » de verser des dons aux associations plutôt que de télécharger la chanson en sonnerie de téléphone.

Depuis, le texte (de Guizmo) est étudié en classe de français. Les images alarmantes du clip d’origine semblaient alors d’une évidence secrète, à l’épreuve du temps. Celle des campagnes, des océans et des rivières, des montagnes et des glaciers, fouettent aujourd’hui l’actualité.

La chanson chorale s’appuie sur la puissance et la variété des harmonies vocales, entonnées le poing levé, pour dénoncer la disharmonie du monde décrié par toutes les générations- celle de Greta Thunberg n’était pas née en 1998. Pour rappeler cet hymne urgent, hymne à la vie, man.

Suzane

Une année a passé. Après un premier EP remarqué, Suzane a dépassé l’ombre de l’anonymat et accéléré la cadence. Les quelques concerts des débuts se sont transformés en une tournée gigantesque. Il n’y a pas eu de palier de décompression pour la jeune artiste sudiste. Du rien, au tout !
Comment l’expliquer ? Il y a eu les clips de « L’Insatisfait » puis de « SLT », qui sans attendre, ont conquis les cœurs. Cet EP a dévoilé une musique proche de l’os et des paroles sans fard, une poésie instantanée et brûlante, aux chorégraphies viscérales.

Suzane étouffe les évidences et chante ce que nous sommes. Chanson française ? Électro ? Très vite, les étiquettes n’ont plus d’importance. Suzane chante son époque, sans cynisme ni raccourci. Introspection pudique, elle incarne, elle ne triche pas. Elle mêle avec un naturel déconcertant et une énergie fédératrice la musique et les mots, les maux et les corps. Esthétique mouvante, mélodies au dépouillement salutaire. Jusqu’à devenir l’artiste la plus programmée des festivals de l’été dernier, tout simplement. Les médias l’ont adoptée avec une légitime bienveillance. Les chiffres se sont affolés : avec seulement cinq titres dévoilés jusqu’alors, Suzane représente déjà plus de quinze millions de streams, des concerts partout dans le monde, jusqu’au Japon et en Chine, des premières parties pour Feder ou -M- (plusieurs Zéniths et un AccorHotels Arena de Paris en point d’orgue…) et des rendez-vous parisiens à guichets fermés aux Etoiles puis à la Gaîté Lyrique et désormais au Trianon en mars 2020.

« Je suis toute seule sur scène. Je ne peux donc pas y aller à moitié. Il faut être à fond. Se mettre à nu et voir ce qu’il se passe… J’ai pris l’espace, c’était comme un combat » dit-elle.

Elle a enfilé une tenue de scène, sa tenue de combat à elle : « Avec la danse, j’ai toujours été habituée à enfiler un costume. Ce truc de se dire que je monte sur scène pas habillée comme dans la vie de tous les jours. Dans ma danse, il y a un côté danse de combat. Mon père regardait les films de Bruce Lee avec moi et j’ai été inspirée par sa combinaison, celle de « La Fureur du Dragon ». Dès que je porte cette combinaison, je deviens Suzane… Et Suzane me permet d’être moi-même tout en étant quelqu’un d’autre. » Elle a dépassé la peur, celle du vide, celle de l’inconnu et des autres. Elle s’est dressée, elle s’est lancée !

Puis est venu le temps de son premier album, dont le titre aux sonorités russes est en fait de l’allemand : « Toï Toï ». Dans les arts de la scène, c’est ce que l’on se dit pour se souhaiter bonne chance avant une représentation. Affaire de superstition donc. Et puis, plus joli que le mot de Cambronne… « La première fois que je suis montée sur scène, on m’a dit « Toï Toï ». Ça ne m’a jamais quittée depuis… ». Phonétiquement, c’est encore le jouet, en anglais. Et Suzane aime jouer : se jouer des codes, et faire jouer ses histoires et ses personnages. Les petits mondes qu’elle édifie grâce à ses chansons, elle y tient. Ils lui sont chers ! Car ce sont des histoires vraies qu’elle nous conte. Alors qu’elle pratique la danse classique au conservatoire depuis quinze ans, elle se passionne pour la chanson réaliste (Brel, Piaf, Barbrara…).

Exaspérée par les diktats imposés par la danse à haut niveau, elle envoie tout valser et prend un job de serveuse. Ses clients deviennent une source d’inspiration, des acteurs qui sans le savoir nourrissent sa prose. Suzane conte des histoires du quotidien, des gens, la vie. D’une anecdote personnelle, Suzane possède ce don d’en faire une vérité qui nous saute aux yeux. Suzane ne gamberge pas, malgré l’accélération démentielle des choses, malgré l’accueil d’un public de plus en plus nombreux. D’espoir, elle est devenue phénomène. C’est la presse hexagonale qui le dit. Suzane ne veut rien céder à la trouille et aux doutes. Elle avance. Elle grandit presque sous nos yeux. Entre instinct et patience, elle a rencontré son destin et est bien décidée à ne plus le lâcher.
Ce disque, elle l’a conçu à Paris, aux Lilas, avec l’aide des mêmes camarades de playground : avec son producteur Chad Boccara et Valentin Marceau qui a co-réalisé l’album avec elle. La fidélité chez Suzane n’est pas un vain mot. Elle est un moteur, une promesse d’avenir. « J’ai quand même un peu le trac » concède-t-elle, avant d’ajouter : « C’est moi ce disque, et c’est ma première fois, j’essaye d’en profiter au maximum. » Même si elle confesse déjà engranger les idées pour son deuxième album. Son passé exigeant de danseuse lui a appris à ne jamais s’endormir sur ses lauriers. Elle commence à accepter les compliments sans trop rougir, les applaudissements, les manifestations d’amour spontanées.

Ofenbach

A seulement 24 ans, ces deux Parisiens font partie des valeurs montantes de la deep house, même si leur son n’est pas exclusivement électro et interpelle les grands noms du rock et du folk. C’est ce qu’on entend dans « Be Mine », classé dans les hauteurs des classements mondiaux et qui aligne plus de 300 millions de streams, servi par un clip à la fois fun et sexy.

100 millions de vues au compteur pour celui-ci : c’est ce que l’on peut appeler un tube.

Pourtant, nulle ambition démesurée chez César et Dorian. Le premier est pianiste, batteur à ses heures, de formation classique ; le second est chanteur et guitariste. Parisiens, ils habitent à 100 mètres l’un de l’autre… comme à l’époque de leur première rencontre, à l’âge de 11 ans, dans les couloirs de leur collège ! Lors d’une démonstration d’alarme incendie, les élèves doivent se mettre en rang. On le devine, César et Dorian font la paire, enchaînant les blagues durant l’exercice. Depuis, ils ne sont plus quittés.

A 13 ans, ils montent leur premier groupe de rock, jouent durant les fêtes de la musique dans des bars et répètent dans la cave de César. Au lycée, Dorian fait de la guitare dans un groupe pop tandis que César révise ses classiques en étudiant le chant lyrique et le piano. A 16 ans, ils se retrouvent dans un autre groupe de pop & quelques concerts au Gibus plus tard, laissent place à une vraie recherche de composition, à la recherche stylistique et même à l’enregistrement en studio. Fascinés, César et Dorian observent le travail de l’ingénieur du son.

Après le lycée, les études universitaires des uns et des autres distendent le groupe mais les deux complices persistent. Suivant tous deux les cours d’une école de cinéma, ils apprennent à jongler avec les rythmiques et les nappes de claviers. Ils plongent dans la deep house, se passionnent pour Robin Schulz, Bakermat, tout en continuant d’admirer la French Touch qui a bercé leur enfance : Daft Punk, Stardust, Etienne de Crécy, Ed Banger, Cassius, Justice, Kavinsky. Leur objectif : contribuer à une French Touch 2.1 ! Après de nombreux mix dans des bars underground parisiens, le duo se trouve enfin un nom de scène : Ofenbach, inspiré d’une partition musicale de César, posée sur son piano… Une manière de rendre hommage à la musique sans la plagier.

Après avoir remixé Bob Sinclar ou Hyphen Hypen, le groupe médite sur la direction qu’ils veulent offrir à leur musique. Ce sera un mélange de deep house avec leurs influences d’ado : les Rolling Stones, Led Zeppelin, Supertramp, Neil Young… Après avoir vécu la nouvelle vague rock du début des années 2000 portée par The Libertines, Arctic Monkeys ou The Strokes, César et Dorian souhaitent rappeler cette énergie à la fois brute et sensuelle, qui cultive des thématiques autour de la séduction. Dont acte avec « Be Mine », alliance de rock 70’s et d’électro contemporaine où le duo a aussi utilisé des vraies prises d’orgues et de guitare tout en travaillant le son d’une contrebasse avec des distorsions. Ce n’est pas parce qu’Ofenbach fait danser les foules en club que César et Dorian renonceront à leurs perfectos et à leur look sous influence rock’n’roll. Leur modèle en termes de chanson ? « Start Me Up » des Stones ! On l’aura compris, ce n’est que le début pour Ofenbach.

En 2017, ils collaborent avec l’auteur-compositeur américain Nick Waterhouse pour le délicieusement rétro ‘KATCHI’ (6eme de l’airplay européen et titre Dance le plus shazamé au monde durant plus de trois mois), puis avec Benjamin Ingrosso, l’auteur compositeur originaire de Stockholm, qui a représenté la Suède au concours Eurovision 2018. Le résultat est un nouveau tube en France, qui finit #2 des fortes rotations en radio !

Ils dévoilent désormais un projet de mini album éponyme, qui inclut leurs trois tubes BE MINE, KATCHI, PARADISE, ainsi que 5 inédits, dont des collaborations avec les américains de Portugal. The Man et The Bamboos, et leur nouveau single : ROCK IT !

Ben Harper & The Innocent Criminals

Des tournées internationales à guichets fermés, des disques d’or et de platines ainsi qu’un grand nombre d’apparitions dans les médias ont fait de Ben Harper une authentique star mondiale. Une soirée avec Ben Harper & The Innocent Criminals au Parc de Valmy, c’est forcément un moment magique.

Jean-Louis Aubert

Quelle joie de recevoir cette icône de la scène française à Argelès-sur-Mer ! Après plusieurs années avec Téléphone puis Les Insus, il revient avec son nouveau groupe pour partager ses chansons si familières et ses tubes emblématiques.
De quoi mettre une ambiance rock dans le Parc de Valmy !

Simple Minds

Le groupe célèbre 40 années iconiques dans la musique en se lançant dans une tournée mondiale en 2020. Ils remplissent les stades du monde entier, donc l’ambiance risque d’être électrique sur la côte méditerranéenne.

Ninho

Il a cette capacité à transformer un bon titre en tube ultra populaire. Il est devenu en quelques années l’artiste le plus sollicité du milieu du rap. Ninho est aujourd’hui en haut de sa colline, et enflammera sans nul doute le parc de Valmy.

La tournée de Ninho remplit tous les Zénith de France !

Tones and I

Si vous ne connaissez pas le nom de la chanteuse, vous connaissez forcément son single, devenu en quelques mois un tube international « Dance Monkey ». Si cela ne vous dit rien, vous avez vu le clip qui montre l’artiste et ses amis transformés en séniors jouant au golf lors d’une partie déjantée et qui a dépassé les 9 millions de vues.

La chanteuse australienne à la voix enfantine viendra donc faire les présentations en juillet prochain. Une ambiance et un live prometteurs !

Black Eyed Peas

Encore un groupe culte aux Déferlantes !

Des tubes planétaires, plusieurs concerts à guichets fermés au Stade de France, plusieurs titres dans le TOP 10, les Black Eyed Peas sont toujours très attendus dans l’hexagone. Après une pause de 7 ans, le groupe revient à ses origines pour le plus grand bonheur des fans de la première heure.

Angèle

ARTISTE N°1 FÉMININE EN FRANCE !
Avec plus de 800 000 exemplaires vendus de son premier album «Brol», Angèle est indéniablement l’icône pop de l’année. Pur produit de son époque, elle transcende les clivages musicaux, vestimentaires, sociaux et ethniques. Nul doute que le décor qu’offre le festival soit merveilleusement bien assorti à la jeune artiste.

Vitaa & Slimane

VersuS Tour, une tournée des zéniths à deux. Un spectacle musical unique mettant en scène les interprètes du tube « Je te le donne ». Un rendez-vous exceptionnel que vous donnent Vitaa et Slimane le temps d’une série de concerts uniques à travers toute la France, la Belgique et la Suisse dès mars 2020.

On attend un concert complice sur les hauteurs d’Argelès-sur-mer !

Petit Biscuit

Petit Biscuit sortira son deuxième album en 2020. Suivant les critiques élogieuses de son premier album « Presence », sorti le jour de son 18e anniversaire en 2017, le jeune artiste français a présenté son univers complexe et délicat à un public de plus en plus important. Jouant dans des festivals prestigieux tels que Coachella aux États-Unis, Listen Out en Australie, Sziget en Roumanie, SummerSonic au Japon, ou encore les Vieilles Charrues en France, Petit Biscuit est devenu une véritable habitué de la scène. Sa tournée de Zéniths en France aura aussi contribué à renforcer la qualité de sa proposition scénique. Avec plus de 1,5 milliard de stream à son actif en tant qu’artiste indépendant, Petit Biscuit a su montré dans ses sorties ultérieures (« Suffer » ft. Skott, « We Were Young », JP Cooper) qu’il n’était pas un artiste se reposant sur ses lauriers, prouvant aux fans qu’il continuera de se réinventer et à faire évoluer son empreinte musicale à chaque nouvelle chanson.

Roméo Elvis

Sincère, déchiré et vibrant, Roméo Elvis a, au même titre que sa soeur, marqué l’année. Artiste belge le plus streamé sur les plateformes d’écoute en ligne, son show est aussi surprenant et jouissif que son album. La température risque de monter de quelques degrés à Valmy ce soir là !

Supamoon

Sur scène, ça joue. De la musique bien sûr… mais aussi avec les lumières, les tenues de scène… et avec le personnage de Claudia qui s’interroge continuellement sur la féminité, au centre de la création. Tour à tour femme forte, charismatique ou sensible… Claudia incarne La Femme en général.
Quand on connait l’influence supposée de la Lune sur ce genre, le nom du projet prend tout son sens. Ça veut aussi dire que vous allez avoir du mal à redescendre…

Le groupe, qui prend une dimension fantastique dès qu’il monte sur scène, a réussi dès ses premiers concerts à agréger un noyau toujours plus fourni de fans tout en attirant l’oreille des programmateurs d’Occitanie (El Mediator : Perpignan ; La Cigalière : Sérignan ; Le Bolegason : Castres ; Le Somnanbulle : Gignac…).

Ils ont d’ailleurs joué dans de prestigieux festivals comme Bars en Trans 2019, Montreux Jazz Festival 2019, Printemps de Bourges, Pause Guitare (Albi), Wild Summer Festival (Montpellier), Les Déferlantes Sud de France (Argelès), Le MaMA Convention (Paris) et ont été les lauréats de la première Creative Live Session organisée par RiffX et Sony Music pour un concert au Palais de Tokyo (Le Yoyo / Paris).

Aucun doute, Supa est prêt à conquérir les scènes hexagonales.

Soprano

ARTISTE N°1 MASCULIN EN FRANCE !
C’est l’année de tous les records pour Soprano ! Une tournée à guichets fermés de plus de 100 dates avec 5 stades dont deux Orange Vélodrome complets. Plus de 800 000 spectateurs heureux à travers la France, la Belgique et la Suisse. Un album certifié diamant dont la réédition vient tout juste de sortir.
Soprano vous donne rendez-vous pour enflammer Valmy avec comme mots d’ordre, fête, amour et paix!
N’hésitez plus et venez vivre la Cosmopolitanie avant qu’il ne soit trop tard.

Nekfeu

L’année 2019 fût florissante pour le rappeur Français de 29 ans avec la sortie de son 3 ème album studio « Les Etoiles Vagabondes » le 6 juin 2019, le même jour que son film portant le même nom. Il sort le 21 juin 2019 une réédition nommée « Les Étoiles vagabondes : Expansion. »

Le film « LES ETOILES VAGABONDES – Nouvel album au cinéma » réalisé par Nekfeu et Syrine Boulanouar, produit par Mars Films, Full Dawa Films, Lieurac Productions et Co-produit par Live Nation a totalisé 100 000 entrées le 6 juin pour son unique séance au cinéma. Il est maintenant disponible sur Netflix : https://www.netflix.com/fr/title/81169158.

Distribué par Pathé Live en France, Belgique, Suisse, Luxembourg, Maroc et Canada, ce documentaire était diffusé simultanément dans 189 cinémas Pathé-Gaumont, KInépolis, Mégarama, Cinéville, Ciné-Alpes, Cineplex et plusieurs cinémas indépendants.

Avec 91 100 entrées rien qu’en France, le film établit un record absolu pour un documentaire musical diffusé au cinéma pour une seule séance pulvérisant ainsi le score de 30 851 entrées réalisé en novembre 2018 par le documentaire « Burn the Stage » sur les coulisses de la tournée du groupe coréen BTS (également distribué en France par Pathé Live)

Sur la seule journée du jeudi 6 juin 2019 et avec une seule séance, le documentaire se classe numéro 1 au box-office France devant X-MEN : Dark Phoenix.

A la suite de la projection, il sort le 21 juin 2019 une nouvelle version de son troisième album nommé Les Étoiles vagabondes : Expansion. Cette nouvelle version contient 34 titres et mélange les titres de l’édition originale et de cette réédition en un seul CD.

Le disque se classe pendant 11 semaines consécutives à la première place du Top albums. Véritable succès commercial, il est certifié triple disque de platine, deux mois et demi après sa sortie, cumulant plus de 300 000 exemplaires vendus. Il devient ainsi la meilleure vente d’albums en France de l’année 2019. L’album dépasse la barre des 400 000 exemplaires vendus en novembre 2019.

Pour Le Figaro, « Le parcours sans fautes pour Les Étoiles vagabondes, le nouvel album de Nekfeu […] ; « sincère, virtuose et mélancolique et pour lequel le rappeur confirme son statut d’artiste accompli ». Pour Les Inrocks, Les Étoiles vagabondes est un « autoportrait vulnérable et touchant ».

Rilès

Rilès produit, écrit, enregistre, mixe, maîtrise et conçoit chacune de ses chansons, en s’appuyant sur lui-même et en repoussant ses propres limites.

Avec des influences extrêmement diverses et une large palette artistique, le chanteur, compositeur et producteur de 23 ans revient avec maintenant plus d’expérience, plus de maturité stylistique pour embarquer le public argelésien dans son univers.

Cali

Je suis très excité de repartir en mars sur la route avec un nouveau disque, une nouvelle équipe, une nouvelle vie. Un vrai gamin !

Les nouvelles chansons qui arrivent parlent surtout d’amour et de lumière. De jeunesse sauvage, et de course effrénée vers la pureté. Ce n’est pas un hasard si le mot heureux revient et revient encore dans les textes. En tous cas, même si les gens ne passent qu’à côté de mon album, ils se brûleront à l’incendie qui ravage mon ventre. J’ai écrit la musique avec un jeune pianiste de génie, Augustin Charnet, compositeur touche-à-tout, surdoué, notamment avec les dernières technologies.

Il m’accompagnera sur la route avec deux autres musiciens dans une formule inédite pour moi. Cette nouvelle meute ivre de folle jeunesse m’offre aujourd’hui des perspectives tellement excitantes. Encore une fois, je repars heureux sur la route et si c’est ma dernière ligne droite, je vais la prendre à fond…

Cavale, ça veut dire s’échapper !
Je vous embrasse.
Cali

Izia

Izïa vient de fêter ses dix ans de carrière. Déjà ! Elle qui a débuté enfant est devenue mère, peu après avoir perdu son père. L’occasion de fermer un premier grand chapitre de sa vie et d’inaugurer un nouveau cycle avec « Citadelle », intime et universel, humble et majestueux. Car depuis La Vague, paru en 2015, des bouillons d’eau sont passés sous les ponts.

Sur scène, aussi sauvage et sensuelle soit-elle, son énergie est indépendante de féminité ou de masculinité. Son chant viscéral frappe en plein cœur. Secoue nos tripes. Nous fait exister plus fort encore. « Citadelle est une leçon de vie, affirme Izïa. Sur ce que l’on traverse, sur ce dont on se remet. » Son passage aux Déferlantes risque encore de marquer les esprits.

Nemir

Nemir a la voix joueuse, un tantinet éraillée. Il a grandi dans Saint-Jacques, le quartier des Gitans à Perpignan, avec ses ruelles étroites et ses places lumineuses. « Je suis un solaire qui cache des obscurités, un euphorique qui a ses descentes, des cycles ». Le Perpignanais présente son 1er album, « ni dans le drame fatal, ni dans le bonheur absolu. Juste dans la vie ».

Jeune rappeur percutant, Nemir s’est inséré très vite dans un écosystème où figurent Youssoupha, à qui il donne la réplique dans l’album NGRTD, mais aussi Hamé, de La Rumeur, tenant d’un rap très politique, et puis Nekfeu qui l’invite sur l’album Feu puis sur Cyborg.

Il y a eu un avant, avec des EP (Next Level# 1, Next Level # 2, Ailleurs, Hors-Série) qui suivaient à la lettre les règles du rap, « mais j’y avais imposé des structures déroutantes, pour ne pas m’ennuyer. Depuis, j’ai réfléchi ». Avec ce 1er album, il a profilé la carrosserie d’un bolide, produisant « un album ouvert, non-performatif, simple et direct ». Et le jeu est bon ! Il le jure, dans Sur ma vie, interprété avec Alpha Wann, ex-1.9.9.5 et Don Dada Music. Nemir a travaillé en symbiose avec le compositeur En’zoo [Enzo Serra] d’origine italienne, complice des défricheurs du nouveau rap français : Nekfeu, Spri Noir, Alpha Wann, Gro Mo, ici présents. L’artiste a ajouté un grain de Saint-Jacques en invitant Antoine « Tato » Garcia, guitariste, issu de Tekameli, groupe de Gitans de Perpignan qui mêlait fête et chants sacrés.

Nemir place le rap au cœur d’un esprit soul, parce qu’il a la passion du hip hop et de la soul, « D’Angelo, Michael Jackson et toutes ces voix de tête m’ont apporté la légèreté et l’obsession du couple et de l’amour ». Mixé à New York par Lionel ElSound, l’album éponyme a été masterisé par Dave Kutch (Alicia Keys, Puff Daddy…), « un rêve de gosse ».

CultureMusicMusique

A la Une

En bref…